Archives Programmation Art et Essai

L’Indomptable feu du printemps

de Lemohang Jeremiah Mosese, avec Mary Twala, Jerry Mofokeng, Makhaola Ndebele / Lésothan / Sud-africain / Italien – 2020 – 2h00

Mantoa, 80 ans, est la doyenne d’un petit village niché dans les montagnes du Lesotho. Lorsque la construction d’un barrage menace de submerger la vallée, Mantoa décide d’en défendre l’héritage spirituel et ravive l’esprit de résistance de sa communauté. Dans les derniers moments de sa vie, la légende de Mantoa se construit et devient éternelle.

 

Séances :

  • Mercredi 15 septembre : 18h15
  • Jeudi 16 : 20h30
  • Vendredi 17 : 20h30
  • Samedi 18 : 14h
  • Dimanche 19 : 18h15
  • Lundi 20 : 14h et 18h15
  • Mardi 21 : 20h30

Découvrez la bande annonce de L’Indomptable feu du printemps

https://youtu.be/fw6jxD-zxiQ

Février

de Kamen Kalev, avec Lachezar Nikolayev Dimitrov, Kolyo Ivanov Dobrev, Ivan Nalbantov / Bulgarie/France – 2019 – 2h05

Aux confins de la Bulgarie rurale, Petar traverse les saisons et le temps de sa vie humble : le travail, la terre, les brebis… À l’écart du monde des hommes, il suit son chemin et accepte son destin sans regret.

Le film fait partie de la Sélection Officielle Cannes 2020.

Séances :

  • Mercredi 22 septembre : 18h15
  • Jeudi 23 : 20h30
  • Vendredi 24 : 20h30
  • Samedi 25 : 14h
  • Dimanche 26 : 18h15
  • Lundi 27 : 14h et 18h15
  • Mardi 28 : 20h30

Découvrez la bande annonce de Février

https://youtu.be/stO3f34wKoU

Bleu

Leçon de cinéma : Trois couleurs – Bleu

de Krzysztof Kieslowski, avec Juliette Binoche, Hélène Vincent, Benoit Régent, Philippe Volter / France/Suisse/Pologne – 1993 – 1h40

Julie, la femme d’un grand compositeur qui a trouvé la mort avec leur enfant lors d’un accident d’automobile, va tenter de retrouver la liberté contre les pressions et les pièges de son entourage.

Premier volet de la trilogie Bleu, Blanc, Rouge.

Lion d’or et Prix d’interprétation féminine à La Mostra de Venise 1993. César de la meilleure actrice, du meilleur montage et du meilleur son.

Séance unique : Jeudi 24 Septembre à 20h

Projection suivie d’une intervention de Virginie Podvin, enseignante à l’Université de Bretagne Occidentale.

Hotel by the river

Hotel by the river

de Hong Sang-Soo, avec Ki Joo-bong, Kim Min-Hee, Song Seon-mi / Corée du Sud – 2020 – 1h36

Un vieux poète, qui loge dans un hôtel au bord d’une rivière, fait venir ses deux fils, pensant que sa fin est proche. Lieu de retrouvailles familiales, l’hôtel est aussi celui d’un désespoir amoureux : une jeune femme trahie par l’homme avec qui elle vivait vient y trouver refuge et demande à une amie de la rejoindre.

Dans un décor enneigé et ouaté, avec un superbe noir et blanc, un beau film épuré et mélancolique assez fascinant.

Séances :

  • Mercredi 16 septembre : 17h10
  • Jeudi 17 : 20h30
  • Vendredi 18 : 20h30
  • Samedi 19 : 17h10
  • Dimanche 20 : 17h10
  • Lundi 21 : 17h10
  • Mardi 22 : 20h30
Epicentro

Epicentro

de Hubert Sauper / France/Autriche/USA – 2020 – 1h47 – Documentaire

Epicentro est  un portrait immersif et métaphorique de Cuba, utopiste et post colonial, pays passé en 1898 de la domination coloniale espagnole à l’ère de l’Empire américain. Au même moment, naissait le cinéma de propagande.

Le réalisateur du Cauchemar de Darwin explore un siècle d’interventionnisme et de fabrication de mythes avec le peuple de La Havane, en particulier ses enfants, pour interroger le temps, l’impérialisme et le cinéma lui-même.

Grand Prix du Jury Documentaire au Festival de Sundance 2020.

Séances :

  • Mercredi 23 septembre : 17h10
  • Vendredi 25 : 20h30
  • Samedi 26 : 17h10
  • Dimanche 27 : 17h10
  • Lundi 28 : 17h10
  • Mardi 29 : 20h30
Pluie noire

Pluie noire

de Shôhei Imamura, avec Miki Norihei, Yoshiko Tanaka, Kazuo Kitamura / Japon – 1989 – reprise 2020 – 1h58

Hiroshima, 6 Août 1945. Un éclair blanc déchire le ciel suivi d’un souffle terrifiant. L’Enfer se déchaîne. Au même moment, Yasuko fait route sur un bateau, vers la maison de son oncle lorsqu’une pluie noire s’abat sur l’embarcation. Quelques années plus tard, les irradiés sont devenus des parias dans le Japon d’après-guerre.

Repris en version restaurée, un chef d’œuvre bouleversant d’Imamura. Dans un magnifique noir et blanc, le réalisateur reconstitue l’explosion et filme le monde d’après Hiroshima en suivant le destin d’une jeune femme.

Séances :

  • Mercredi 30 septembre : 17h10
  • Jeudi 1er octobre : 20h30
  • Vendredi 2 : 20h30
  • Samedi 3 : 17h10
  • Dimanche 4 : 17h10
  • Lundi 5 : 17h10
  • Mardi 6 : 20h30

Dans un jardin qu’on dirait éternel

de Tatsushi Omori, avec Kiki Kirin, Haru Kuroki, Mikako Tabe / Japon – 2020 – 1h40 – d’après le roman de Noriko Morishita

À Yokohama, dans une maison traditionnelle, Noriko et sa cousine Michiko s’initient à la cérémonie du thé. Noriko se laisse séduire par les gestes ancestraux de la très exigeante Madame Takeda et change peu à peu son regard sur l’existence tandis que Michiko décide de suivre un tout autre chemin.

L’art du thé au fil des saisons, un récit initiatique de transmission qui rend hommage au jeu subtil de Kiki Kirin, icône du cinéma japonais disparue récemment.

Séances :

  • Mercredi 7 octobre : 17h10
  • Jeudi 8 : 20h15
  • Vendredi 9 : 20h15
  • Samedi 10 : 17h10
  • Dimanche 11 : 17h10
  • Lundi 12 : 17h10
  • Mardi 13 : 20h15

 

Avant-première : Drunk

de Thomas Vinterberg, avec Mads Mikkelsen, Thomas Bo Larsen, Lars Ranthe… / Danemark – Sortie nationale : 14 octobre 2020 – 1h56 – Haut et Court

Quatre amis décident de mettre en pratique la théorie d’un psychologue norvégien selon laquelle l’homme aurait dès la naissance un déficit d’alcool dans le sang. Avec une rigueur scientifique, chacun relève le défi en espérant tous que leur vie n’en sera que meilleure ! Si dans un premier temps les résultats sont encourageants, la situation devient rapidement hors de contrôle.

Film labellisé « Sélection Officielle 2020 » / Festival de Cannes

Avant-première : lundi 12 octobre à 20h15

Une projection proposée par le Cinéville Garenne, en partenariat avec Cinécran, en écho aux futures Rencontres du cinéma européen (10 > 16 mars 2021) dont le pays à l’honneur sera le Danemark !

Séance Music Act’ : Belladonna

de Eiichi Yamamoto / Japon – Animation – 1973 / 2016 (copie numérique restaurée) – 1h33 – Eurozoom

Réalisé en 1973 par Eiichi Yamamoto, ce film d’animation inspiré de l’œuvre classique La Sorcière de Jules Michelet, raconte la vengeance de Jeanne, femme devenue sorcière après avoir pactisé avec le diable, contre ses violeurs.

Œuvre féministe où l’érotisme évoque la puissance de la femme qui s’émancipe, cet Animerama nippon étonne par ses traits graphiques qui le transforment en une symphonie hypnotique. La BO composée par Massako Satô, rajoute une touche psychédélique et transforme ce film en véritable opéra baroque sans égal…

Séance unique : jeudi 15 octobre à 20h30

Une projection proposée par L’Echonova dans le cadre de leur parcours Music Act’ spécial Japon, en partenariat avec Cinécran, au Cinéville Garenne.

La femme des steppes, le flic et l’oeuf

de Quanan Wang, avec Dulamjav Enkhtaivan, Aorigeletu, Norovsambuu Batmunkh / Chine/Mongolie – 2020 – 1h40 

Une femme assassinée est retrouvée au beau milieu de la steppe mongole. Un policier novice est désigné pour monter la garde durant la nuit. Le soir venu, une jeune bergère, malicieuse et indépendante vient l’aider à se protéger du froid et des loups. Le lendemain matin, l’enquête suit son cours, elle retourne à sa vie libre mais quelque chose aura changé.

Tourné dans des paysages à l’horizon infini, sous des ciels somptueusement photographiés, un film magistral et envoûtant, d’une grande poésie.

Montgolfière d’or au Festival des Trois Continents de Nantes 2019

Séances :

  • Mercredi 21 octobre : 17h10
  • Jeudi 22 : 20h15
  • Vendredi 23 : 20h15
  • Samedi 24 : 17h10
  • Dimanche 25 : 17h10
  • Lundi 26 : 17h10
  • Mardi 27 : 20h15

Bains Publics

de Kita Bauchet / Belgique – 2019 – 60 min – Documentaire

La documentariste Kita Bauchet a posé sa caméra au sein des « Bains de Bruxelles », où l’élément aquatique favorise le brassage social. Entre les nageurs des bassins du haut et les utilisateurs défavorisés des douches publiques du bas se dessine le visage d’une société pétrie d’inégalités que l’eau balaie et apaise pour un temps béni. Un hommage à un Bruxelles métissé et populaire qui rassemble des personnalités fortes ou fragiles, des portraits magnifiés par les corps et la parole.

Coup de cœur Cinécran / Sélection “Mois du film documentaire 2020”

Documentaire à voir exceptionnellement en ligne jusqu’au 08 décembre sur la plateforme KuB, le web média breton :

https://www.kubweb.media/page/bains-publics-bruxelles-mois-doc-kita-bauchet/

Deux

de Filippo Meneghetti, avec Barbara Sukowa, Martine Chevallier, Léa Drucker / France/Luxembourg – 2020 – 1h35

Nina et Madeleine, deux retraitées, sont amoureuses l’une de l’autre. Aux yeux de tous, elles ne sont que de simples voisines vivant au dernier étage de leur immeuble. Au quotidien, elles  partagent leurs vies entre leurs deux appartements. Personne ne les connaît vraiment, pas même Anne, la fille attentionnée de Madeleine. Jusqu’au jour où un événement tragique fait tout basculer …

Délicat et pudique, d’une grande justesse, un film sur le poids du regard et des représentations porté par trois actrices magistrales.

Prix du Public  Festival Premiers Plans d’Angers 2020. Prix du Public Festival 41e Cinemed.

Séances à partir du 29 juillet

Nuestras madres

Nuestras madres

de César Diaz, avec Armando Espitia, Emma Dib, Aurelia Caal / Guatemala/Belgique – 2020 – 1h17

Guatemala, 2018. Le pays vit au rythme du procès des militaires à l’origine de la guerre civile qui a déchiré le Guatemala de 1960 à 1996.  Ernesto, jeune anthropologue à la Fondation médico-légale, travaille à l’identification des disparus. En recueillant le témoignage d’une vieille femme, il pense déceler un indice qui lui permettra de retrouver la trace de son père, guérillero disparu pendant les années noires.

Un film pudique vibrant d’émotion qui mêle le récit intime à l’Histoire. Un hommage aux mères du Guatemala.

Caméra d’Or au Festival de Cannes 2019 et Prix SACD à la Semaine de la Critique.

Séances :

  • Mercredi 5 : 17h10
  • Jeudi 6 : 20h30
  • Vendredi 7 : 20h30
  • Samedi 8 : 17h10
  • Dimanche 9 : 17h10
  • Lundi 10 : 17h10
  • Mardi 11 : 20h30
La Nuit venue

La Nuit venue

de Frédéric Farrucci, avec Guang Huo, Camélia Jordana, Xun Liang / France – 2020 – 1h35

A Paris, Jin, jeune immigré sans papiers, est chauffeur de VTC, soumis à la mafia chinoise depuis son arrivée en France. Ancien DJ, passionné d’électro, il est sur le point de solder sa dette en multipliant les heures de conduite. Une nuit, à la sortie d’une boîte, une troublante jeune femme  lui propose d’être son chauffeur pour ses virées nocturnes. Au fil de leurs courses dans la ville interlope, une histoire naît entre ces deux solitaires qui pousse Jin à enfreindre les règles du milieu.

Un polar nocturne envoûtant sur la communauté chinoise de Paris.

Prix du Public au Festival des Champs-Elysées 2020. Prix de la mise en scène et de la meilleure musique au Festival de Saint-Jean-de-Luz 2019.

Séances :

  • Mercredi 12 août : 17h10
  • Jeudi 13 : 20h30
  • Vendredi 14 : 20h30
  • Samedi 15 : 17h10
  • Dimanche 16 : 17h10
  • Lundi 17 : 17h10
  • Mardi 18 : 20h30
Trois étés

Trois étés

de Sandra Kogut, avec Regina Casé, Otavio Müller, Gisele Froes / Brésil/France – 2020 – 1h34

Chaque année, Edgar et Marta organisent une grande fête dans leur luxueuse résidence d’été, orchestrée par leur gouvernante Mada et les autres employés de la maison. Mais, en trois étés, tout va basculer. Alors que le monde de ses riches patrons implose, balayé par des scandales financiers, Mada se retrouve en charge de la propriété dont elle est bien décidée à tirer le meilleur parti.

Une comédie grinçante sur une société néo-libérale à bout de souffle.

Séances :

  • Mercredi 19 août : 17h10
  • Jeudi 20 : 20h30
  • Vendredi 21 : 20h30
  • Samedi 22 : 17h10
  • Dimanche 23 : 17h10
  • Lundi 24 : 17h10
  • Mardi 25 : 20h30
La Communion affiche

La Communion

de Jan Komasa / France – 2020 – 1h55 – Fiction

Daniel, 20 ans, se découvre une vocation spirituelle dans un centre de détention pour la jeunesse mais le crime qu’il a commis l’empêche d’accéder aux études de séminariste. Envoyé dans une petite ville pour travailler dans un atelier de menuiserie, il se fait passer pour un prêtre et prend la tête de la paroisse. L’arrivée du jeune et charismatique prédicateur bouscule alors cette petite communauté conservatrice.

Séances à partir du 22 juillet

Un divan à Tunis

de Manele Labidi, avec Golshifteh Farahani, Majd Mastoura, Aïcha Ben Miled / France – 2020 – 1h28

Après avoir exercé en France, Selma, 35 ans, ouvre un cabinet de psychanalyste dans une banlieue populaire de Tunis. Au lendemain de la Révolution, la demande s’avère importante. Mais entre ceux qui prennent Freud et sa barbe pour un frère musulman et ceux qui confondent séances tarifées avec « prestations tarifées », les débuts du cabinet sont mouvementés..

Une comédie qui dépeint avec humour et tendresse la Tunisie aujourd’hui entre élan vers l’avenir et poids de la tradition. Une galerie de personnages hauts en couleurs gravite autour de la lumineuse Golshifteh Farahani.

Prix du Public à la Mostra de Venise 2019.

Séances à partir du 1er juillet

Un jour si blanc

de Hlynur Palmason, avec Ingvar Eggert Sigurdsson, Ida Mekkin Hlyasdottir, Hilmir Snaer Guonason // Islande – 2020 – 1h44

Avertissement 

Dans une petite ville perdue d’Islande, un commissaire de police en congé soupçonne un homme du coin d’avoir eu une aventure avec sa femme récemment décédée dans un accident de voiture. Sa recherche de la vérité tourne à l’obsession. Celle-ci s’intensifie et le mène inévitablement à se mettre en danger, lui et ses proches. Une histoire de deuil, de vengeance et d’amour inconditionnel.

Un « polar » à la mise en scène impressionnante liée à l’étrangeté des paysages lunaires, fantomatiques, et à l’interprétation exceptionnelle de Ingvar Sigurdsson.

Prix de la Révélation  Semaine de la Critique Cannes 2019. Prix d’interprétation masculine Festival Premiers Plans d’Angers 2020.

Séances à partir du 15 juillet

La cravate

de Mathias Théry et Etienne Chaillou / France – 2020 – 1h37 – Documentaire

Bastien a vingt ans et milite depuis cinq ans dans le principal parti d’extrême-droite. Quand débute la campagne présidentielle, il est invité par son supérieur à s’engager davantage. Initié à l’art d’endosser le costume des politiciens, il se prend à rêver d’une carrière, mais de vieux démons ressurgissent …

Un film au dispositif singulier mis en place par les réalisateurs de La Sociologue et l’ourson. L’itinéraire d’un jeune militant en quête d’appartenance et de reconnaissance confronté, face caméra, au portrait écrit que les réalisateurs ont fait de lui.

Séances à partir du 24 juin

ANNULÉ ! Les émancipées – The Incredible life of Hedy Lamarr

ANNULÉ !! Rencontre + Projection

Cinéma • 20h • La Lucarne • Entrée gratuite • Réservation conseillée

En partenariat avec Scènes du Golfe

Icône glamour de l’âge d’or hollywoodien, partenaire à l’écran de Spencer Tracy, James Stewart ou Clark Gable, séductrice assumée mais également épouse modèle d’un magnat de l’armement allemand dans les années 1930, actrice autrichienne inconnue déchaînant les passions à la Mostra de Venise, jeune juive fuyant l’Europe et la montée du nazisme ou scientifique ayant marqué l’histoire des télécommunications, tels étaient les mille et un visages d’Hedy Lamarr. C’est à cette femme libre, déterminée et inspirante, dont la vie mouvementée traverse l’histoire du cinéma et du XXème siècle, que Cinécran et Les Émancipéés souhaitent rendre hommage au cours d’une soirée placée sous le signe du cinéma et de la bande-dessinée.
Une invitation à découvrir le personnage romanesque, exalté et complexe qui se cache derrière l’image policée de La Plus belle femme du monde !

La soirée se déroulera en deux temps :

Rencontre-discussion avec William Roy et Sylvain Dorange, auteurs de La plus belle femme du monde. The incredible life of Hedy Lamarr, La Boîte à bulles, 2018
Rencontre animée par Morgan Lefeuvre, historienne du cinéma

Projection d’un des premiers films d’Hedy Lamarr, Extase de Gustav Machaty (1933)

Navette gratuite : départ à 19h15, parvis du Palais des Arts.
Sans réservation

Billetterie : https://www.festival-lesemancipees.bzh/the-incredible-life-of-hedy-lamarr-tab-341.html

Histoire d’un regard

de Mariana Otero / France – 2020 – 1h33 – Documentaire

Gilles Caron, photoreporter, disparaît au Cambodge en 1970 à 30 ans. Il a été un des témoins majeurs de son époque, couvrant la guerre des Six Jours, Mai 68, le conflit nord-irlandais, la guerre du Vietnam. Lorsque Mariana Otero découvre son travail, une photo résonne avec sa propre histoire. Elle se plonge alors dans les 100 000 clichés du photographe.

Une immersion dans l’oeuvre de Gilles Caron qui raconte l’histoire de son époque à travers son regard. Mariana Otero, en écho à son film Histoire d’un secret sur sa mère, déchiffre les images afin de redonner une présence à l’artiste.

Séances à partir du 8 juillet

La vie invisible d’Euridice Gusmao

de Karim Aïnouz, avec Carol Duarte, Julia Stockler, Gregorio Duvivier // Brésil/Allemagne – 2019 – 2h20

Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs.

Rio de Janeiro, 1950. Euridice, 18 ans, et Guida, 20 ans, sont deux sœurs inséparables. Elles vivent chez leurs parents et rêvent, l’une d’une carrière de pianiste, l’autre du grand amour. A cause de leur père, les deux sœurs vont devoir construire leurs vies l’une sans l’autre. Séparées, elles prendront en main leur destin, sans jamais renoncer à se retrouver.

Une fresque romanesque du Brésil des années 50 à nos jours autour du destin contrarié de deux femmes aux prises avec une société patriarcale qui les étouffe.

Prix Un Certain Regard au Festival de Cannes 2019.

Séances :

  • Mercredi 29 Janvier : 18h
  • Jeudi 30 : 20h
  • Samedi 1 Février : 14h
  • Dimanche 2 : 18h
  • Lundi 3 : 14h et 18h
  • Mardi 4 : 20h